Cette salle fondée en 1868 par un certain Jamin fut, à la fin du Second Empire, l’un des premiers cafés-concerts. Le théâtre ouvrait ses portes à 7 heures du soir. Le prix des places était de 0,40 à 0,75 franc. On y dînait pour 1,50 à 2 francs. Plus tard, le public n’eut plus droit qu’au spectacle, en se désaltérant d’un bock ou d’un café.
La dynastie des Dorfeuil reprit la suite de Jamin jusqu’en 1923. La formule avait naturellement évolué : on jouait « des revues, des sketches, des spectacles gais, précédés d’un tour de concert chantant ». Le fantaisiste…